| Vendredi 25 avril 2008 Par pascale |
| Nous avons fui les villes où des Mercedes, des 4X4 côtoient des charrettes. Les Roms reconnaissables (chapeau noir pour les hommes, robes colorées pour les femmes), sont visiblement la minorité du pays. La mendicité, la pauvreté sont présentes dans ces villes tristes et grises. Je n'oublierai pas cette femme, sans pieds, traversant en rampant un passage clouté. |
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| Nous avons choisi les routes de campagne et nous avons découvert une autre Roumanie : celle des forêts, des champs, celle où les moutons, les vaches et les oies traversent les routes, celle où tout le monde nous salue et nous sourit dans les villages. |
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| Un super accueil chez l’habitant. Sur la table, des cornichons et un pot à eau. La couleur était trompeuse, c’était de la gnole… Puis des saucisses,, des pommes de terre et des sourires. A Brasov, nous avons chanté l’internationale en français avec Rodica., qui a appris le français il y a longtemps. Lorsqu’elle parlait avec nous, ses yeux riaient. Ce pays a un passé lourd à surmonter, mais quel contraste avec la Hongrie ! |
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